Plus de vidéos

Rencontres

Ils font du porno avec des caméras de surveillance !

Ils font du porno avec des caméras de surveillance !

Quand d’autres financent leurs études en donnant des cours de maths ou en travaillant au Mac Do, Cédric T. et Kevin M. se sont rencontrés en étant veilleurs de nuit. Une rencontre qui les a amenés quelques mois plus tard à monter un site internet qui propose des films « interdits ». Ils ont monté le site Vidéo Espion pour y publier des vidéos volées issues de caméras de surveillance. Impossible de croiser ces deux coquins sans saisir l’opportunité de réaliser une petite interview (et merci à Christelle pour sa soirée, sans laquelle cette rencontre n'aurait pas eu lieu).

Gelix : Comment passe-t-on du Deug de Maths au porno sur caméra de surveillance ?

Cédric T. : On s’est rencontrés alors qu’on était veilleurs de nuit pour payer nos études ...
Kevin M. (interrompant C.T.) : ... et nos sorties
C.T. : ... (rires) ... oui et nos sorties. On m’a demandé de faire un remplacement dans le domaine de la surveillance vidéo, et dès la deuxième nuit je me suis retrouvé avec un couple qui baisait dans un bureau sur mon écran de surveillance. Je dois avouer avoir été assez troublé de me retrouver ainsi à mater ...
K.M. (interrompant encore, moqueur) : oui, tu t’es branlé quoi, espèce de voyeur !
C.T : ... bon ça va hein ! Donc si ça ne m’a rien inspiré d’autre dans un premier temps, une expérience comme ça, tu la rumines forcément. Et c’est en parlant avec Kevin que l’idée d’utiliser ces vidéos est venue.
K.M. : quand Cédric m’a parlé de cette histoire de vidéo voyeur, la première question qui m’est venue c’est « tu as récupéré la cassette ?!? », je me suis tout de suite dit que cela pouvait faire de la matière un site internet, que ce serait vraiment drôle, et que ca permettrait peut être d’avoir d’autres films.
C.T. : je n’avais pas pu récupérer la K7 et mon remplacement était fini, donc c’était mort pour ce coup là. Mais on a commencé à en parler autour de nous, aux collègues qui bossent dans la télé-surveillance et qui avaient accès à ce type de cassette de vidéo surveillance, et on a commencé à récupérer des scènes de baise volées à droite et à gauche par le biais des caméras de surveillance dans les entreprises.

Gelix : Mais ca n’est pas un peu risqué pour ceux qui vous font remonter la vidéo volée ? Et pour vous si vous la rendez publique ?

K.M. : Il y a plusieurs profils de « fournisseurs » de vidéos volées. Souvent il s’agit de responsables de sécurité qui tombent sur des plan baise, et qui se gardent les vidéos bien au chaud, pour eux, soit parce qu’ils sont voyeurs, soit parce qu’ils trouvent ça marrant, soit parfois sans doute parce qu’ils se disent que cela pourrait servir à faire chanter ceux qui sont impliqués. Mais ils ne prennent pas le risque, le plus souvent, de les rendre publiques tant qu’ils bossent dans l’entreprise où les vidéos ont été tournées. C’est souvent après un licenciement du détenteur de la vidéo que celui-ci vient nous voir pour nous donner ou monnayer son document croustillant. On donne la garantie à nos dealers de contenus de garantir leur anonymat quoiqu’il arrive. On essaie vraiment d’instaurer une relation de confiance, d’abord pour qu’il passe le mot à leurs collègues, et aussi parce qu’ils sont appelés à capter d’autres images croustillantes.

C.T. : Pour le moment, en ce qui nous concerne nous n’avons pas eu vraiment d’embêtement. Nous avons eu une fois une demande d’un patron qui s’était fait piégé par une de ses propres caméra de surveillance en train de culbuter sa secrétaire sur le bureau, et qui avait été prévenu par un parent a priori qu’il était sur le site. Il a exigé qu’on retire la vidéo volée et qu’on lui dise comment on l’avait eu, avec menaces de procès et tout et tout. Ca s’est réglé à l’amiable. On a garanti qu’on retirait illico le film s’il renonçait à toute procédure à notre encontre, procédure où il aurait exigé de connaître l’origine de la vidéo.

Gelix : Réellement pas plus de problème que ça ?

K.M. : Non rien de bien grave. On a eu aussi une femme qui été apparemment habituée des pipes sur les parkings et qui a cru se reconnaître. Elle voulait absolument qu’on retire la vidéo. En creusant on s’est rendu compte que la vidéo avait bien été tournée dans la ville que le vidéo-surveillant nous avait indiquée, alors que la nana en question ne s’était jamais rendue dans cette ville. On a donc pas donné suite à sa demande !

C.T. : On a eu un contact assez musclé aussi avec un homme qui avait reconnu sa femme, tandis qu’on la voyait en train de tailler une pipe à un mec qui n’était donc pas lui. La conversation téléphonique avait été assez sévère, « je vais venir vous casser la gueule » et des trucs du genre, mais finalement il en voulait sans doute plus à sa femme qu’à nous. Et c’était assez simple à gérer pour nous, soit c’était sa nana qui demandait, soit le mec de la vidéo, mais finalement, il n’avait lui aucun droit à l’image sur cette vidéo puisqu’il n’y figurait pas !

Gelix : Vous n’êtes jamais choqués par les vidéos ?

K.M. : Il en faut beaucoup pour me choquer. Enfin si, je suis surpris souvent que les gens qui ne doivent pas être en couple dans la vie pour la plupart baisent sans capote. Mais à part ça, non je ne suis pas choqué.

C.T. : Moi non plus. Les images ne sont pas choquantes, c’est par contre les histoires qui vont avec qui peuvent l’être ... notamment les abus de hiérarchie où les patrons ou les directeurs de services se tapent des secrétaires qui n’ont pas toujours vraiment la possibilité de refuser.

Gelix : Le site a une partie payante, ca vous rapporte beaucoup d’argent ?

C.T. : En fait ca ne nous rapporte rien, et nous continuons à faire dans le même état d’esprit que lorsque nous avons lancé le site : avant tout pour le plaisir. La totalité des recettes nous sert à payer le serveur où on met les vidéos, mais aussi et surtout à acheter de nouvelles vidéos à des vigiles et autres télé surveillants pour les ajouter sur notre site.

K.M. : Et ceux qui ont la chance de choper une vidéo volée de la sorte peuvent nous contacter, hein !

Gelix : Vous vous êtes découvert par hasard la passion du voyeurisme, mais à force de trop en voir, vous ne saturez pas ?

C.T. : Au contraire je crois qu’on y prend de plus en plus de plaisirs (rires). A chaque cassette ou CD de vidéo surveillance qu’on reçoit c’est toujours un grand moment. Tu lances le truc, et tu vois que ca commence à se chauffer, à se tripoter ... les mains passent sous les jupes ... tu te dis que ça va s’arrêter là, et finalement, non ça continue, ça se dénude ... et ça va parfois très loin ...

K.M. : c’est parfois très bestial, car c’est des gens qui ont peu de temps et qui ont vraiment une envie pressante pour baiser ainsi au travail, dans un parking ou dans un vestiaire, et ça n’est en général pas les moins vicieux.
---
Je remercie encore Kevin et Cédric pour m’avoir livré leurs petits secrets sur la manière dont est faite leur excellent site Video Espion (et la belle Christelle dont les soirées sont toujours un succès comme celle de l'Ambassadeur des chocolats ;) ) . Le concept est vraiment marrant, surtout si on a la fibre d’un voyeur.

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus